dimanche, janvier 28, 2007

C'est la dernière


Vue de la fenêtre 'd'en face', elle est pas belle l'aile nord?




Regardez de plus près sur la gauche ... Oui, l'aile nord aussi est presque complète : le nid de la famille Verbeke se construit pour l'instant.



Et vu sous cet angle, ça ne vous donne pas l'envie de parcourir la venelle, de descendre frapper à une porte, de tailler une bavette sur la placette ? Comme moi, vous imaginez le tableau quand tout sera terminé...

Bon, c'est vrai qu'il y a encore du travail, parce qu'il ne faut pas l'oublier, c'est encore un chantier "la placette".


Mais visez un peu au sud : la semaine dernière les ouvriers ont commencé à couvrir les toits. Et ne dit-on pas que le plus important est "d'avoir un toit"...?



Et pendant ce temps, dans les maisons, le travail se poursuit petit à petit. Ce sont les installations électriques qui avancent à ce stade, soit en auto-construction, soit avec la société Intrel qui a commencé son chantier.


Et par une belle matinée hivernale ensoleillée, les promeneurs ont pu se faire une idée de l'habitat groupé dit du Bois del Terre...

Yves.

mercredi, janvier 24, 2007

De quoi péter un plomb

S'il y a bien une caractéristique propres aux groupes sociaux du genre habitats groupés et autres associations de tous poils, c'est bien la faculter de péter un plomb, voire un câble ou une chaise (si, si). Cela peut se passer à tout moment, mais une récente étude statistique d'un chercheur US-américain a démontré que le taux d'occurence maximale était à un moment de la journée où l'air était plus ionisé (fin de journée ensoleillée) et que la température de l'atmosphère descendait au point d'entrer en contact avec certaines couches de l'ionosphère par le jeu de la convection (début de nuit). Ce phénomène peut aller jusquà provoquer des arcs électriques. Le travail du professeur Fuseburn établit que le maximum est typiquement atteint vers 23 heures sous nos latitudes. Plus le vendredi que les autres jours du fait d'un effet combiné avec l'impact de la pollution accumulées par la circulation automobile d'une semaine de labeur.
Que ce passe-t-il alors le vendredi vers 23 heures ? Des physiologistes de l'Institut Pasteur continue de chercher à élucider les mécanismes neurologiques qui régulent le système orthosympathique. Une chose est sûre, le dystress généré à ce moment est à la base de ce que les habitatgroupologues appèlent le syndrome de 11 heures.
Une fois ce cap passé, tout est alors possible. Le meilleur et le pire.
Un membre actif d'une petite association locale a d'ailleurs inventé un appareil saugrenu qui permet de désamorcer le pétage de plomb. Le paraplomopet fabriqué entre 23 et 01 H (pour bénéficier du banc d'essai le plus réel possible) est basé sur un ingénieux système de protections électriques qui est sensé accumuler les étincelles émises par les différents intervenants d'un projet (architecte, entrepreneur, maître d'ouvrage, consultant, g_e_s_t_i_o_n_n_a_i_r_e w_a_l_l_o_n, régie...) de manière à ce que cette énergie négative soit transformée en courant alternatif de penser 3x230V et injecté dans le réseau (dès l'arrivée des compteurs réversibles -- trois siècle après nos voisins). Cette électricité verte serait alors tout à fait compétitive dans le marché libéralisé.
Voilà qui devrait ravir la première place au salon des inventeurs wallons à ce monsieur très fier d'avoir inventé un nouveau modèle de brosse à cabinets.
Le prototype du paraplomopet sera mis en service dans un environnement réel dans un bâtiment neuf contruit à cet effet à Limelette.
Vous n'avez pas tout compris. Ce n'est pas grave. Cette page ne s'autodétruira pas dans les cinq secondes. Relisez-là à s'n aise. -- jac.

mardi, janvier 23, 2007

La Note Bleue

Ce mardi, enfin (diront les mauvaises langues), les châssis de la maison commune sont en train d'être placés. Ils sont bleus (je crois que cela se voit). Peut-être plus bleus que sur le nuancier. Mais voilà, il se trouve que c'est beau (diront les bonnes langues).










Une fantaisie mesurée entre enfin (par la fenêtre) dans ce projet où la raison a trop (diront certaines des langues précitées) souvent le dessus.
La musique de feu Nougaro -- écoutée ce week-end en travaillant -- aurait-elle été entendue par les dieux ? Vive la note bleue. -- jac.

lundi, janvier 22, 2007

Parenthèse : 1954 - 2007


Mes amis, au secours...

Une femme vient de mourir gelée, cette nuit à trois heures, sur le trottoir du boulevard Sébastopol, serrant sur elle le papier par lequel, avant hier, on l'avait expulsée...

Chaque nuit, ils sont plus de 2 000 recroquevillés sous le gel, sans toit, sans pain, plus d'un presque nu. Devant l'horreur, les cités d'urgence, ce n'est même plus assez urgent !

Ecoutez-moi : en trois heures, deux premiers centres de dépannage viennent de se créer : l'un sous la tente au pied du Panthéon, rue de la Montagne-Sainte-Geneviève ; l'autre à Courbevoie. Ils regorgent déjà, il faut en ouvrir partout. Il faut que ce soir même, dans toutes les villes de France, dans chaque quartier de Paris, des pancartes s'accrochent sous une lumière dans la nuit, à la porte de lieux où il y ait couvertures, paille, soupe, et où l'on lise sous ce titre "Centre fraternel de dépannage", ces simples mots : "Toi qui souffres, qui que tu sois, entre, dors, mange, reprend espoir, ici on t'aime."

(...)

(sur les ondes de Radio Luxembourg, le 1er février 1954)

dimanche, janvier 21, 2007

Que la lumière soit !

Et la lumière ne se fit pas de suite. Là où le Seigneur mit une journée (et encore, une phrase), il fallut trois jours pour que cela ne soit pas fini. Et les mauvaises langues diront que c'est parce qu'on discute et rediscute des positions des câbles. Que nenni, c'est sous le joug de la tyrannie que les ouvriers del terre durent affronter leur dur labeur. Peu de discussions et beaucoup d'action ce week-end au rythme de la musique -- comment dire, heu... -- pour tous les goûts. Voici le résumé en image.

Que faire ?
Le plan est là pour donner les trajets des câbles.


















Il ya les teigneux et les rieurs.













Les appliqués.









Les clowns
(houps, pardon !)











Les sceptiques.











Les gypsies (ou les emplâtres, c'est selon).














Enfin un peu de tout. Chacun y trouvera son profil. -- jac.

samedi, janvier 20, 2007

Les femmes à la cuisine !

Et pas à faire de la soupe que diable.
C'est vrai à la fin !

Les temps sont révolus où les hommes étaient des bâtisseurs et les femmes des nourrisseuses de bâtisseurs. Ca y est, grâce à l'Europe, à la disparition du choléra, au suffrage presque universel, à l'Internet, au _d_y_n_a_m_i_s_m_e_ _d_e_ _l_a_ _W_a_l_l_o_n_i_e_ . . . tout cela appartient au passé.
Nous voyons d'ailleurs ici un individu femelle dans la (future) cuisine de la maison commune en train de creuser les murs pour y placer l'électricité.
Ben forcément, pas d'électricité, pas frigo.
Pas de frigo, pas de bière fraîche.
Pas de bière fraîche, pas de télé.
Pas de télé, pas de télé.
Et tout en travaillant comme un ouvrier (mais forcément moins bien), elle n'a pas l'air scie cloche.
Et pendant se temps les hommes discutent de la manière dont on pourrait faire (faire par les femmes) l'installation de chauffage (une fois qu'on aura la bière fraîche, hein, faut prioritiser un minimum).
Ainsi les hommes pourront déguster le repos du bâtisseur.
Simplifiez, simplifiez la vie han-han en Wallonie han-han -- sur un air connu.
Adieu immonde truelle ! -- jac.

jeudi, janvier 18, 2007

Coup de blues


Les petites emmerdes s'accumoncellent sur nos têtes et un vent mauvais souffle entre nos deux oreilles. Et même si elle non plus ne rigole pas tous les jours, la bravitude de Ségolène nous fait parfois défaut... Aujourd'hui, jour d'intempérie et le chantier est triste à crever.

On commence par où ? Les châssis qui n'arrivent pas ? ...parce que pas les mesures ...parce que pas les pierres bleues... parce que nouvelle machine et donc ça prend plus de temps (!)... parce qu'il fait trop beau et que les stocks de matériaux sont épuisés etc...

Des tas de demandes, de devis, de livraisons, de démarches n'aboutissent pas, n'arrivent pas, patinent dans le bac à sable. On passe un soir, bardaf ! un container est là, dans notre entrée, abandonné par un entrepreneur aux prises avec un chantier voisin et qu'il faut poursuivre pendant des jours pour qu'il décampe vite fait.

Un autre jour (hier en fait), on nous apprend qu'il faut ajouter une semelle à certaines de nos pierres bleues, en lien avec le bardage. Allez hop : 820 €.

Et puis les citernes... les citernes... un puits sans fond de débats sans fin autour duquel, dignes des médecins de Molière, tous les spécialistes de la Thudinie nous abreuvent d'avis, de conseils, de prix approximatifs, rajoutant une pompe, un tuyau, un filtre, un préfiltre ou un siphon. Chacune des solutions nous entraînant dans un délire infini de conséquences et de surcoûts. Tout ça pour de l'eau... moi qui ne bois que du Cointreau... sans glace.

Nos nuits sont peuplées de Boullu impavides et de Séraphin Lampion rigolards. Et avec ça il faut être gentil avec tout le monde et tenir la porte pour madame.

Bon allez on va aller calmer ses nerfs ailleurs... Steph.


mercredi, janvier 17, 2007

Testé pour vous : le Collège électronique


Tout qui s'est un peu perdu dans le quartier, à l'image de notre brave sous-traitant Sédilec, n'aura pas manqué de noter la multiplicité des bouts de rue portant le nom de Blanc-Ry.
A vue de nez, il doit y en avoir quatre (en plus de la rue principale). Ils sont agrémentés de petits points rouges sur la carte.

En juin de l'année passée, nous avons donc introduit une demande à la commune* pour que notre petite voirie sur notre terrain, à qui l'on promet le nom et le destin de Blanc-Ry, soit rebaptisée "venelle du Bois del Terre".

C'est mignon, ça mange pas de pain, c'est plein d'anagrammes amusants**, c'est le nom de ce lieu-dit et cela met un frein à la cacophonie locale. C'est bon, là ?

Il y a eu, comment dirais-je, un très long et très assourdissant silence radio. Vacances, élections, installation, tout ça tout ça. Le Collège a demandé à la commission de Toponymie de se pencher sur la question. Petit tour à l'administration pour mieux appréhender dans quels subtils rouages s'est introduit un demi-seau de sable.

Et donc la commission de Toponymie - qui jusque là était gérée dans le service de l'état-civil (il y a des tas de gens qui ont quitté le registre des vivants pour se retrouver sur les plaques de rue. Et puis, comme dirait Jacques, cela ne jure pas trop avec le fait que bien des artères de notre future et riante cité ont vu le sang couler : place des déportés, avenue des combattants, avenue de la résistance, rue des fusillés, la rue de l'invasion et autres joyeusetés du cru).

Où en étions-nous ? Ah oui... la toponymie est donc appelée à rejoindre le service de l'urbanisme. Ce qui a première comme à perte de vue ne semble pas sot. Nous avons donc reçu l'assurance que dès lundi les deux chefs de service vont se concerter.

En fait, pourquoi on s'excite ? Mais voilà, une fois que l'on introduit ce genre de demande, il y a intérêt à ce qu'elle aboutisse au plus vite. Sans quoi nous risquons le double déménagement : de notre domicile actuel vers la rue du Blanc-Ry... et, si on a gain de cause, - mais sans ressortir les caisses quand même-, rebelote vers la venelle etc.

J'ai donc envoyé un mail ce midi au nouvel échevin de l'urbanisme, histoire qu'il soit au courant du yoyo auquel nos petites destinées sont attachées. C'est facile : vous allez sur le site de la ville et hop, l'affaire est jouée. A 17h coup de fil de l'échevin : pas mal. A suivre lundi... Bien entendu, on vous tient au courant ! A défaut de rue, au moins, avec Bois del Terre, l'aventure porte un nom.






* Petit morceau de la lettre d'anthologie, écrite par Jacques et envoyée au Collège : La rue du Blanc-Ry est déjà labyrinthique dans son cours. Cela rend l'accès physique extrêmement confidentiel, voire cryptique.

** Allez on y va...
Désinvolture de rebelle, Le lien sort du belvédère, Noble déserteur de ville, Rébellion de désert velu, Don réel : belle servitude, Rebelle ! Sort du dénivelé !, Vélo du résident rebelle, Belle vérole du résident, Belle routine de rêve LSD, Veille, senteur de bordel !, Rêve de truelle si blonde... j'en passe et des meilleures.

dimanche, janvier 14, 2007

Le compte à rebours est enclenché !


Ce week-end, à 34 semaines au plus tard de la grande transhumance, notre première caisse est bouclée ! Après désenguirlandage de l'arbre de Noël et tri sévère d'entre les boules (trop maigre, trop vieille, trop kitsch...), Jésus & co, flanqués des 3 flandrins et de la ménagerie biblique ont donc trouvé leur petite place bien au chaud pour terminer ce drôle d'hiver...

jeudi, janvier 11, 2007

Le chantier à feu... et bientôt à cent !

Ce lundi, toutes les forces disponibles étaient concentrées sur l'aile Nord. Brique de parement côté jardin sur la maison de Judith et étanchéification des fondations de la future sixième maison.

Tant qu'à faire -et pour la première fois en fait- une photo de la maison de Stéphane & Sarah, construite en 4 jours entre le 19 et le 22 décembre. Nous aurons l'occasion de revenir sur ce petit tour de force.

Vendredi sera un petit peu particulier. Nous saluerons comme il se doit le 100ème jour ouvrable de notre chantier et nous aurons la visite de la responsable du bulletin communal d'informations.




jeudi, janvier 04, 2007

Sur le gril

Voilà une petite grille proposée par Jean-Benoît et Laurence... destinée au départ aux initiés du Bois del Terre, elle vous est présentée aujourd'hui sous deux degrés de difficultés.
En a, les définitions "maison" et en b, une traduction disons plus classique. Avec toutes les lettres grisées, vous reconstituerez sans peine le nom d'un lieu magique... Si Jack ne craque pas avant, solution dans cinq jours ! >>>>> cliquez sur Commentaires !


1a Sujet tabou depuis presque toujours
1b Habitat groupé où l’on se vole volontiers dans les plumes

2a Adepte du mécano électrique
2b Caractère de ce qui est cuit sous résistance

3a Âme damnée
3b Petite boisson alcoolisée agrémentée d’une olive, à consommer avec modération

4a Entre deux portes
4b Embrassant

5a Stéphane leur court toujours derrière
5b Rarement des lumières, souvent dans le gaz

6a Collectifs
6b En parlant de lieux, souvent entendus

7a Grande, muette et désarmante
7b Bête à corne et à poils

8a Réunion sans planning
8b En bref, de bas niveau

9a Isolant festif
9b Souvent poussé trop loin

10a Il n’en resta qu’un et ce fut celui-là
10b Déclaration de fin de plan (cinéma)

11a Fou de cabanes et architecte d’intérieur
11b En deux mots, élément indissociable d’une ferme (d’animation)

12a Voisins du quartier
12b Homonymes du groupe de Jim Morrison

13a Ils organisent une brocante régulièrement
13b Frères

14a Qualificatif chestrolais pour un projet, une implantation, un permis...
14b Fait le trottoir sans déposer de caution à la commune

15a Elle domine notre domaine
15b Oiseau

16a Ne m’oubliez pas
16b Fleur qui peut s’avérer vénéneuse

17a Fantasme profond
17b Lagunage

18a Vieille ferme
18b On peut l’avoir dans le ventre

mardi, janvier 02, 2007

Soyons orientés solutions !


Ne vois ici aucune bonne résolution (dans aucun sans du terme), ni même une revendication, mais simplement un moyen de solutionner le problème proposé.

Choisis ton matériel pour un résultat optimal:
  • une paire de ciseaux (avec bouts arrondis pour les maladroits),
  • de la colle sans solvant puant (si ça pue, ça doit être mauvais),
  • de la patience et de la bonne humeur,
  • un fond musical (du genre la musique des résultats du Keno sur la RTBF).
Et puis, surtout, travaille dans un espace propre, non-fumeur (resto etc...) et dans une position ergonomique. Nous ne dirons pas assez les ravages causés par les bricolages sur la santé publique.

Question préliminaire. As-tu reconnu tous les animaux et les métiers (certains peuvent paraître cryptiques) ?

Bonne chance ! -- jac.







lundi, janvier 01, 2007

2007 au Bois del Terre !



Les derniers sont rentrés chez eux à 5h du mat'... non sans avoir fait un petit détour et échangé quelques bisous au milieu du chantier (brrrr !).

Nuit haute en couleurs, on vous l'avait prédit. Chacune des familles apportant des plats d'une teinte bien précise... et chemin faisant, les vêtements et accessoires ont accompagné le mouvement. Judith a été rejointe sur sa photo par une ribambelle d'enfants de toutes origines.

Heureusement, nous n'avons actuellement que cinq maisons construites à l'heure actuelle... ce qui va nous permettre de vous proposer le petit jeu suivant !

Cinq maisons contiguës ont chacune une couleur, une nationalité, une profession, un animal et une boisson. Sur la base des 14 phrases suivantes, répondez aux deux questions....

1. Le Français habite dans la maison rouge
2. Le Barzoï appartient à la Hollandaise
3. On boit un Orval dans la maison verte
4. L’Argentin boit de la bière
5. La maison verte est située à droite de la violette et sont adjacentes
6. Le comédien élève un coq
7. L’enseignante habite dans la maison jaune
8. On boit du vin dans la maison de gauche
9. La Belge habite dans la deuxième maison
10. L’informaticien habite la maison voisine de celle où demeure la propriétaire du renard
11. La maison de l’enseignante est à côté de celle où il y a un chat
12. L’artiste boit du thé
13. L’Ecossaise est fermière
14. La Belge est à côté de la maison orange

Qui a un poney ?

Qui boit du vin ?

En résumé :

Jaune – Orange – Rouge – Verte – Violette

Argentin – Belge – Ecossaise – Français – Hollandaise

Bière – Café – Orval – Thé – Vin

Barzoï – Chat – Coq – Poney – Renard

Artiste – Comédien – Enseignante – Fermière – Informaticien


Vous pouvez nous adresser vos propositions via le commentaire ! (mais surtout ne cliquez pas ici...)

Dès demain, un nouveau jeu proposé par la sixième maison..